Plutôt des bureaux vides que du logement abordable : chronique d’une crise annoncée Eder Pozo Pérez - Unsplash

Ou « Quand les fonds immobiliers tirent profit de la crise des bureaux », titre le quotidien d'idées AOC. La sociologue et chercheuse Marine Duros y signe un texte sur la financiarisation de l’immobilier en France, et de ses effets sournois.

Adoptée en juin, la loi Daubié a instauré le concept de « réversibilité » – soit la capacité des bâtiments à changer facilement d’usage, notamment du bureau à l’habitat. Sous des apparences de politique vertueuse se cache une rhétorique de greenwashing, et l’absence de volonté politique vis-à-vis du cœur du problème : la financiarisation de l’immobilier.

La politique a priori vertueuse vient surtout soutenir l’ouverture d’un nouveau cycle d’accumulation du capital pour les fonds d’investissement immobiliers propriétaires de ces bureaux vides, au détriment de la majorité des habitants, anticipe Marine Duros.

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