Les écoémotions : les reconnaître et les comprendre

Des enseignants-chercheurs se penchent sur le sujet des écoémotions.

Marie-Josée Drolet, professeure titulaire en éthique (Université du Québec à Trois-Rivières) se penche sur les écoémotions dans un texte pour le média d’information et d’analyse La Conversation. Elle constate que les écoémotions négatives tendent à être mieux connues que les écoémotions positives, ce qui peut engendrer un débalancement. À défaut de connaitre les écoémotions positives, le risque est grand de se laisser aller à une lecture exclusivement négative des phénomènes environnementaux.

C’est également le sujet d’étude de deux enseignants-chercheurs, Hélène Gorge (Université de Lille) et Boris Collet (Université Savoie Mont Blanc). Dans une opinion publiée au quotidien d’idée AOC, ils abordent le point sous l’angle de la (non-)parentalité. La question démographique a souvent été associée aux réflexions écologiques et aux enjeux liés aux limites planétaires. Une lecture sensible de ces évolutions démographiques amène, par exemple, à s’intéresser au choix d’avoir ou non des enfants dans le contexte de la crise écologique. 

La Conversation

AOC


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